De l’anémie je souffre continuellement
De là mon ami con part à Le Mans
D’être las de ma maladie mais il ment
De lassitude il n’est plus mon amant
Je l’ai fatigué mais il préfère me dire
Qu’il a besoin de solitude et dois partir
Sur le bord de la fenêtre, la saucisse se meurt
Sur le fort du bien être, elle se languit de douleur
Ne profitant pas de la chaleur de ses sœurs
La saucisse, sotte, saute avec son saucisson sans cesse dans le malheur
Si ses sauts sont des chutes vertigineuses dans l’apesanteur
Elle atterrit sous la fenêtre sur le sol sale de liqueur
Et au milieu du parterre des enivrantes fleurs, se meurt
De là mon ami con part à Le Mans
D’être las de ma maladie mais il ment
De lassitude il n’est plus mon amant
Je l’ai fatigué mais il préfère me dire
Qu’il a besoin de solitude et dois partir
Sur le bord de la fenêtre, la saucisse se meurt
Sur le fort du bien être, elle se languit de douleur
Ne profitant pas de la chaleur de ses sœurs
La saucisse, sotte, saute avec son saucisson sans cesse dans le malheur
Si ses sauts sont des chutes vertigineuses dans l’apesanteur
Elle atterrit sous la fenêtre sur le sol sale de liqueur
Et au milieu du parterre des enivrantes fleurs, se meurt
(Premiers vers d’Elisa)
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