dimanche 18 décembre 2011

Sous le pont Neuf



Entrer dans l'iréel, dans un autre monde, où les règles physiques ne sont plus les mêmes, où tout devient possible, où rien ne vous arrête, où tout ce que vous voyez s'illumine sous une autre forme, où tout a un autre goût, où tout vous aveugle...


Sous le pont Neuf coule la Garonne
Et nos amours
Faut-il qu’il frissonne
La joie venait toujours pendant l’automne
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Ainsi ils s’embrassent
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l’onde qui glace
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
L’amour reste dans le sud-ouest
L’amour reste
Comme la vie est rousse
Et comme l’Espérance est douce
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
Passent les jours et ils s’enlacent
Ni temps passé
Ni les amours détonnent
Sous le pont Neuf coule la Garonne
Vienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeure
(Réécriture du Pont Mirabeau d'Apollinaire)



Tout devient le reflet de votre propre conscience, vos propres rêves deviennent des miroirs ondulants au gré des aléas qui les malmènent, vous (vous) plongez dans l'inconnu, tout se transforme...

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1 commentaire:

  1. Ah non je suis pas d'accord hein le Pont Neuf il est au-dessus de la Seine !!! :o

    :P <3

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